Quantcast
Channel: Robots, Drones et Intelligence Artificielle » Drones
Viewing all 164 articles
Browse latest View live

Dronise tout ce qui passe entre tes mains

$
0
0

humanoides_fr_drone_It_Yourself_Kit

Pas un seul jour ne passe sans qu'un reportage à la TV ou dans la presse quotidienne ne soit consacré aux drones. Les drones, ces objets à la fois passionnants et inquiétants (est-ce vraiment l'objet ou plutôt les hommes qui le sont ?). Une chose est certaine, le mouvement est bel et bien lancé et rien ne pourra l'arrêter. Ce n'est pas Jasper van Loenen qui va nous contredire. Jasper est designer / artiste / créateur / bidouilleur. Bref, il a plus d'une corde à son arc. Il vient juste d'inventer quelque chose d'incroyable. Un kit qui permet de transformer n'importe quel objet en drone volant. Du do it yourself à l'état pur humanoides_fr_drone_it_yourself_1 Ce kit baptisé par son créateur Drone It Yourself (DIY) nécessite tout de même un peu de matériel, puisqu'il vous faudra une imprimante 3D pour créer à partir des instructions fournies, les différentes parties de votre objet volant : ses rotors et l'unité centrale. Les rotors sont indépendants les uns des autres et peuvent se fixer aux objets à l'aide d'une pince de serrage. Par exemple, vous verrez dans la vidéo que Jasper les fixe sur une roue de vélo, un téléphone, un bodyboard ou encore un livre... Aucune limite si ce n'est celle de votre imagination ! humanoides_fr_drone_it_yourself_clavier Pour l'instant, l'inventeur de ce concept génial n'a pas donné plus de précision quant à une éventuelle commercialisation de son Drone it Yourself.

Un pressing qui livre ses clients par les airs

$
0
0

humanoides_fr_drones_livreur_pressing

Un pressing de la ville de Philadelphie (USA) a eu la bonne idée de livrer ses clients directement par drones coursiers. Le concept est fun et va faire parler de lui, comme Domino's Pizza avec ses drones livreurs de pizzas. Une télé locale a même filmé le propriétaire du pressing. Harout Vartanian pense que ce nouveau mode de livraison va rendre plus cool l'image que les gens se font du pressing. Une fois que les chemises sont repassées et glissées dans leur film plastique, les employés du pressing accroche les cintres sur le drone et le tour est joué. Le drone est ensuite piloté à une distance relativement rapprochée de l'appareil pour éviter tout accident, et livre par les airs les chemises repassées. Le jeune Harout Vartanian, à vingt-quatre ans, ne s'attendait pas à ce que son petit business devienne aussi célèbre dans la ville grâce à un quadricoptère Phantom de la marque DJI. Ce drone sert normalement à faire des prises de vue aérienne. Dans ce cas précis, il s'est transformé en drone coursier de chemises, la preuve qu'ils sont multi-tâches et qu'on les retrouve là où on s'y attend le moins. Au départ, il a simplement posté une vidéo sur Youtube qui s'est retrouvée à être viralisée et l'engouement autour de ce concept a rapidement pris. Maintenant il s'en sert plus comme objet de communication. En effet, le drone qu'il possède ne peut transporter qu'une à deux chemises par course, ce qui est maigre. Mais il compte investir dans un modèle plus solide pour pouvoir effectuer des livraisons de 5 à 6 chemises à la fois. Harout Vartanian profite de la législation américaine un peu floue mais néanmoins favorable au développement des drones pour le grand public. Depuis mai 2012, l’agence fédérale de l’aviation (FAA), autorité de tutelle de l’aviation civile aux Etats-Unis, a assoupli les règles encadrant le déploiement des UAV en attendant de statuer d'ici 2015, date qui ne sera sans doute pas respectée.

Appontage du drone de combat X-47B : des ajustements restent à faire

$
0
0

humanoides_fr_drone_x-47b_appontage

Après le succès des premiers appontages du prototype de drone furtif X-47B il y a une semaine, il semblerait que le démonstrateur ait quelques difficultés à reproduire cet exploit. En effet, lundi dernier, l'US Navy a voulu continuer les essais mais, à cause d’un problème de logiciel a prior, le drone a été contraint de se poser à terre. Les tests ont été menés au large des côtes de la Virginie, comme lors des essais de catapultage en mai dernier. Mais ce lundi, l'appareil de 20 tonnes arrivant à une vitesse de 145 noeuds n'a pas réussi une seule fois à se poser à bord du porte-avions USS George H. W. Bush. humanoides_fr_drone_x-47b_appontage_2 Déjà la semaine dernière, après deux premiers essais réussis, la troisième tentative d’appontage avait dû être interrompue à cause d’un problème de logiciel de navigation. Lundi, les hommes de la Naval Air Systems Command (NAVAIR) et les ingénieurs Northrop Grumman ont tenté en vain de réussir le troisième appontage avec un autre de leurs drones X-47B. L'engin semble avoir présenté des difficultés en vol et l'US Navy a préféré ne prendre aucun risque. Les deux tentatives d'approche ont été annulées coup sur coup. Au total, sur les quatre tentatives, deux ont été réussies, ce qui est toujours une de plus que l'objectif que l'US Navy s'était fixée. Et en plus, elle pourra dire que les systèmes de détection de problèmes à bord ont fonctionné. humanoides_fr_drone_x-47b_appontage_3 Mis à part cet épisode malheureux, la campagne d’essais en mer qui aura duré huit mois, reste une réussite et une première dans l'histoire de l'aéronautique. Les Américains nous montrent encore une fois qu'ils sont encore (pour le moment !) au dessus des autres en matière d'avancées technologiques et d'aéronautique. Le projet d'UCAS X-47B est encore jeune puisqu'il a démarré en 2005. Le prototype X-47B doit conduire à la fabrication du futur UCLASS (Unmanned Carrier Launched Airborne Surveillance and Strike) prévu pour 2019.

WANTED ! Un permis de chasse pour shooter les drones

$
0
0

humanoides_fr_drones_permis_chasse

Les habitants d'une petite bourgade américaine sont en train de se pencher sur une question hautement stratégique : faut-il autoriser la chasse aux drones par le biais d'un permis d'un tout nouveau genre ? Ses possesseurs pourraient tirer à balles réelles sur les UAVs pour les faire s'écraser au sol. L'initiative vient d'un habitant de Deer Trail, une petit ville paisible de l'Etat du Colorado, qui n'a sans doute jamais vu de sa vie un drone. Peu importe, il est persuadé qu'il faut les détruire. Et pour cela, il n'y va pas par quatre chemins : il veut les descendre au fusil ! Sa menace est claire : "S'ils survolent la ville, on leur tire dessus." Il propose donc la création d'un permis de chasse de drones dont le prix serait de 25 $. Ensuite, la ville récompenserait les bons chasseurs : 25 $ si la personne ramène le drone en morceaux et jusqu'à 100 $ si le drone est encore vivant lors de sa capture et en un seul morceau. Un conseil : ne partez donc pas en vacances à Deer Trail avec un AR.Drone...

La réponse de la FAA au chasseur de drones

$
0
0

humanoides_fr_drones_chasse_FAA

La Federal Aviation Administration (FAA), l'agence gouvernementale chargée des règlementations et des contrôles concernant l'aviation civile aux États-Unis, a rapidement réagi à la requête formulée par un habitant du Colorado, qui voulait créer un permis de chasse pour abattre les drones. La déclaration de la FAA est très claire : les personnes qui essaieraient de tirer sur des drones pourraient mettre en danger la population ainsi que le mobilier urbain, et seraient passibles d'une amende ou poursuivies par la justice. "Un drone touché par une arme à feu pourrait se crasher et causer des blessures à des personnes ou des biens publics au sol, voire même, rentrer en collision avec d'autres appareils en vol. Tirer sur un engin sans pilote pourrait engager la responsabilité civile ou pénale, comme le peut le fait de tirer sur un appareil en vol transportant des personnes." L'habitant du Colorado, ne compte pas lâcher l'affaire. Il a déjà obtenu 28 signatures de sa pétition et a déclaré que la FAA n'a pas le pouvoir dans ce pays pour dicter les lois. Ambiance, ambiance ! La FAA travaille actuellement sur la réglementation des drones dans l'espace aérien américain. Le Congrès a demandé une réponse à la FAA d'ici 2015, mais l'agence a pris du retard et ne tiendra sans doute pas ces délais. Une fois la réglementation en place, des dizaines de milliers de drones survoleront le territoire américain à des fins très diverses, et la FAA ne veut pas se planter.

Le rêve américain filmé depuis un drone Phantom DJI

$
0
0

humanoides_fr_drone_phantom_dji_angeles

En un peu plus de 3 minutes ce film procure la terrible envie de se téléporter direct à Los Angeles... La plage, les villas immenses, les fêtes à l'américaine... Clay Folden, le réalisateur, a filmé ces images depuis son drone Phantom DJI équipé d'une caméra GoPro Hero3 Black. Ca se passe de commentaires...

Le Phantom de DJI

Phantom ou plutôt OVNI, car son allure futuriste lui a valu de passer pour un engin extraterrestre aux yeux des manifestants brésiliens lors des récents mouvements de contestation à Rio. Le profil épuré de l'appareil, la blancheur de sa coque en ABS et ses douze diodes vertes et rouges placées sous ses quatre rotors donnent au drone DJI son aspect futuriste et high-tech. Tous les détails du matériel sont sur le compte Youtube du réalisateur. Il précise même qu'il a eu l'autorisation de filmer la fête organisée pour le "Cinco de Mayo", le cinq mai, jour de fête pour tous les Méxicains pour commémorer la victoire des forces républicaines sur les forces du gouvernement conservateur mexicain épaulé par les troupes françaises en 1862. humanoides_fr_drone_phantom_dji_gopro Le quadricoptère est en vente à partir de 569 € chez Drone-RC (support GoPro inclus mais pas la caméra elle-même).

Le projet DALER : un drôle de robot hybride

$
0
0

humanoides_fr_robot_daler_epfl

Cela faisait un petit moment que nous ne parlions pas des travaux de recherche à l'EPFL. Un membre du laboratoire de systèmes intelligents vient de poster cette vidéo sur Youtube. Ils sont en train de mettre au point un système aérien modulable capable aussi de se déplacer au sol à l'aide de ses ailes. Si vous croisez un jour des engins aériens aux formes bizarres, qui suivent des trajectoires de vol étonnantes et qui restent en vol même après s'être cognés contre les murs, vous ne vous trompez pas : vous êtes face à un appareil conçu dans ce laboratoire de l'Ecole Polytechnique de Lausane. humanoides_fr_robot_daler_epfl_2 Le projet DALER (Deployable Air Land Exploration Robot) en est encore un bel exemple : il utilise ses ailes pour ramper au sol grâce aux forces de propulsion et traction. On appelle cela des whegs, des wheels (roues) et des legs (jambes). A la différence du drone MAVion, qui vole et roule au sol également, l'aéronef suisse n'a pas besoin de composants additionnels pour être hybride. Ses ailes lui suffisent... Avec un design épuré et un minimum de composants, la plateforme reste très légère et peut atteindre des vitesses au sol de l'ordre de 0.2 m/s et effectuer des rotations sur place de 25°/s. humanoides_fr_robot_daler_epfl_3 Le DALER encore au stade de prototype a été conçu pour des missions de surveillance, d'exploration ou encore de recherche et sauvetage. Ce robot souple multi-terrains pourra faire face aux environnements les plus rudes : terrains accidentés, bâtiments détruits, forêts à la végétaion vive... Avec ce genre de robot autonome adaptable à différents types de situation, les suisses espèrent répondre par un seul et même robot aux conditions extrêmes en cas de sinistre grave. L'équipe du laboratoire LIS a qualifié cette capacité de "morphologie adaptative", terme suffisament explicite après avoir regardé la vidéo. De plus, la structure pourrait s'adapter de manière autonome en fonction du mode de locomotion et en cherchant toujours un maximum d'efficacité. Une future version du DALER prévoit même des ailes rétractables en fonction des modes de vol (en extérieur, en intérieur, en vol stationnaire) ou des déplacements au sol.

Coordination en vol d’un essaim de robots autonomes

$
0
0

humanoides_fr_drones_DFA_epfl_2

L'union fait la force. Cette devise s'applique aussi aux robots de l'Institut de Technologie de Zurich qui, individuellement ne peuvent pas voler, mais une fois assemblés sont capables de prendre leur envol. Ce sont les professeurs Raffaello D'Andrea, Maximilian Kriegleder, Raymond Oung et leur équipe qui ont mené à bien ce projet baptisé Distributed Flight Array. Il s'agit d'une plateforme volante, composée de petits engins mono hélice indépendants. Ces mono-rotors aux cadres hexagonaux imprimés en 3D, s'assemblent de manière autonome pour former des structures unifiées pouvant prendre différentes formes, capables de s'envoler de manière coordonnée. Une fois en l'air, la plateforme effectue un vol plané et au bout de quelques minutes se désassemble et retombe au sol. Dans un mouvement cyclique, la structure s'assemble de nouveau et redécolle. humanoides_fr_drones_DFA_epfl_3 humanoides_fr_robots_autonomes_vol_2 Le groupe de chercheurs de l'ETH de Zurich y voit deux intérêts : 1) montrer qu'en assemblant plusieurs robots relativement basiques et inadaptés pour le vol, on peut construire une plateforme multi-rotor un peu plus complexe et capable d'effectuer des vols coordonnés, 2) montrer la capacité autonome de décision de chaque unité à stabiliser l'ensemble de la structure. La tâche qui consiste à maintenir la plateforme en vol se répercute sur l'ensemble des robots. Les véhicules s'échangent des informations, les combinent et déterminent grâce à leurs capteurs de mesure, la poussée à délivrer pour faire décoller la structure ou la maintenir dans les airs. Chaque robot possède un gyroscope, un accéléromètre, un inclinomètre, trois roues omnidirectionnelles et des aimants pour lui permettre de s'accrocher aux autres unités. Les modules communiquent entre eux par des faisceaux de lumières infrarouge. humanoides_fr_drones_DFA_epfl_4 humanoides_fr_drones_DFA_epfl_1 humanoides_fr_robots_autonomes_vol_4

La FAA autorise pour la première fois des vols à but commercial

$
0
0

humanoides_fr_drones_autorisation_faa

La FAA, l’agence gouvernementale chargée des réglementations et des contrôles concernant l’aviation civile aux États-Unis, vient de donner pour la première fois son accord pour un usage commercial de deux drones américains. Il s'agit du Scan Eagle X200 d'Insitu et du Puma d'AeroVironment. Avant cette autorisation historique, une entreprise voulant faire voler un UAV dans l'espace aérien américain, devait obtenir de la FAA une certification de navigabilité en cours d'expérimentation. Le seul problème était que cette certification interdit à l'opérateur de faire du business avec son appareil. Les deux drones qui ont obtenu l'accord de la FAA ne sont pas des drones de combat (on préfère le préciser). Ce sont des UAV de taille moyenne, d'environ 140 cm de long pour 25 kg, conçus pour la reconnaissance et aérienne et les prises de vue. A partir du mois d'août, une société du secteur de l'énergie utilisera le X200 pour patrouiller au-dessus des côtes de l'Alaska où se trouvent ses exploitations de pétrole. L'entreprise souhaite surveiller les mouvements de la banquise et la migration des baleines autour de ses sites. Le Puma opérera au-dessus de la mer de Beaufort, qui fait partie de l'océan Arctique, et servira aux équipes de secours en cas d'accident pétrolier (marée noire) et pour observer les espèces animales dans cette région. Ceci marque donc la première étape du projet de réglementation généralisé des drones aux Etats-Unis, demandé par l'Administration Obama d'ici 2015. Comme explique plus haut, pour l'instant, les UAVs peuvent voler au-dessus des Etats-Unis à deux conditions : obtenir la certification de navigabilité et voler dans un but non lucratif. Mais heureusement que la réglementation n'est pas trop sévère et qu'elle n'empêche pas de nombreux photographes et vidéastes de lancer leurs business grâce aux drones. De plus, cela permettra qu'en 2015, dès que la FAA aura statué, l'industrie du drone soit mûre.

Un tutoriel vidéo du module GPS de l’AR.Drone 2.0

$
0
0

humanoides_fr_parrot_ar_drone_2_flight_recorder_gps_2

Plus de 350 données de vol enregistrées par ce petit module, véritable boîte noire de l'AR.Drone 2.0. Parrot a eu la bonne idée de publier ce jours-ci ce tuto vidéo sur son compte Youtube. Le Flight Recorder GPS est donc une extension qui permet de géolocaliser votre appareil et d'enregistrer les coordonnées GPS ainsi que 350 autres paramètres de vol avec une précision de +/- 2 mètres. En outre, cet enregistreur GPS permet de choisir sur la carte son point de destination, enregistrer deux heures de vidéos HD grâce à sa mémoire Flash de 4Go et revoir ses vols modélisés en 3D sur la carte de l’AR.Drone Academy. Il est vendu 100 euros sur la boutique en ligne de Parrot ou bien dans leur magasin parisien. humanoides_fr_parrot_ar_drone_2_flight_recorder_gps

YO! Sushi sert sa clientèle à table avec des drones

$
0
0

humanoides_fr_yo_sushi_drones_serveurs_3

La chaîne de restauration rapide YO! Sushi vient d'embaucher de drôles de serveurs. La marque britannique veut surfer sur la vague des drones et propose à ses clients de les servir à table directement par UAV interposé. Cela nous rappelle évidemment l'autre chaîne qui a déployé les désormais célèbres DomiCopter. Le projet est encore en phase de test dans la franchise de Soho. Ce nouveau système de service, baptisé iTray par la chaîne, doit permettre aux serveurs de diriger à distance à partir d'un iPad connecté en wifi les petits quadricoptères. Ils ont une portée de 50 mètres et se déplacent à 10 m/s. Equipés de deux caméras optiques, ils retransmettent en cuisine et sur les tablettes des serveurs ce qui se passe en salle. Une vidéo a été postée en ligne avec le PDG des restaurants YO! Sushi, Robin Rowland, expliquant le concept : "Tout est question d'innovation. YO! Sushi propose un tout nouveau concept à ses clients et repousse eles barrières de la technologie". En effet, cette chaîne est la première à avoir proposé de la nourriture servie sur un tapis roulant. "Nous voulions montrer à nos clients à quel point la nourriture peut être amusante", a-t-il déclaré. humanoides_fr_yo_sushi_drones_serveurs YO! Sushi espère déployer ce nouveau service dans ses 64 franchises britanniques d'ici la fin de l'année. La chaîne a orchestré cette opération de communication pour le lancement de son nouveau produit, le Yo Burger (un virage à 90° pour cette chaîne de sushis ?) L'hamburger a intérêt d'être bon, car ce n'est pas seulement avec des drones que YO! Sushi fidélisera sa clientèle... Et ne parlons pas du pilotage, qui devra être irréprochable ! humanoides_fr_yo_sushi_drones_serveurs_2

Six drones Alister 9 seront bientôt livrés à la Marine Nationale

$
0
0

humanoides_fr_alistair_marine_nationale_drones

La Marine Nationale devrait recevoir d'ici la fin de l'année 2013, six véhicules sous-marins autonomes légers de la société ECA Robotics, commandés par la DGA fin 2010. La Marine procède actuellement à des essais sur un des AUVs (autonomous underwater vehicle) pour valider son utilisation au sein du Groupe des Plongeurs Démineurs (GPD). Ce drone sous-marin sera utilisé dans la guerre des mines, pour la détection, la classification et la localisation de mines jusqu'à 100 mètres de prodondeur. Sa taille et sa précision de navigation lui permettent d'évoluer dans des milieux étroits tels que les chenaux, les bras de mer et les ports où les eaux sont peu profondes. humanoides_fr_alistair_eca_robotics_drones4 L'Alister 9, anciennement appelé Alister 100, mesure entre 170 et 250 centimètres et pèse jusqu’à 90 kg selon sa configuration. Il peut naviguer à une vitesse de 2 à 3 noeuds et a une autonomie aux alentours de 24 heures. Techniquement, deux marins, positionnés sur une cale ou à bord d'une embarcation pneumatique, suffisent à le mettre en œuvre. Il peut également être lancé depuis un quai. Il est équipé d'un sonar Klein qui lui permet de travailler à différentes fréquences afin de privilégier au choix, la distance de détection ou la définition des images obtenues. En outre, il embarque différents systèmes de navigation (GPS, inertiel) et de communication, d’une caméra optique et plusieurs autres capteurs. humanoides_fr_alistair_eca_robotics_drones2 Ces engins légers seront donc les premiers drones sous-marins de guerre des mines qu'utilisera la Marine nationale. Ce contrat va permettre à la société varoise ECA Robotics de renforcer son expertise dans le domaine des AUV militaires, en plus de ses désormais éprouvés véhicules télé-opérés (ROVs) employés par les chasseurs de mines français, hollandais et belges depuis la fin des années 70. ECA Robotics possède une large gamme d'appareils allant des drones sous marins pour différents types de missions - l'AUV Alister 18 Twin et l'Alister 27, présentés ici -, aux appareils filoguidés comme le PAP ou le Roving Bat, mais aussi une gamme de véhicules autonomes terrestres. humanoides_fr_alistair_eca_robotics_drones3

Vous ne rêvez pas : un drone professionnel à 500 €

$
0
0

humanoides_fr_3D_robotics_drone_quadricoptere_3

La société 3D Robotics vient d'annoncer en avant-première la sortie prochaine d'un drone pour professionnels à moins de 700 $ (soit 530 €). La nouvelle a fait sensation lors d'un salon qui s'est tenu à San Francisco la dernière semaine de juillet. Il s'agira d'un quadricoptère contrôlable à partir d'une tablette Android, inspiré de son produit APM 3DR Quad. Il sera destiné aux pilotes de multirotors, aux professionnels voulant faire des prises de vue depuis le ciel. En effet, ce drone possèdera les moteurs suffisants pour supporter un appareil optique supplémentaire. humanoides_fr_3D_robotics_drone_quadricoptere_2 "Je pense que les principales cibles du marché des drones sont les personnes voulant juste faire des choses avec, des personnes normales comme vous et moi", a déclaré Brandon Basso, un ingénieur recherche et développement chez 3D Robotics, lors du salon Small Unmanned Systems Business Expo. Brandon Basso pense que son quadricoptère bon marché pourra intéresser également les métiers de l'agriculture, les équipes de secours, et toutes les personnes faisant appel aux images aériennes. humanoides_fr_3D_robotics_drone_quadricoptere "Je ne suis pas en train de dire qu'une personne peut être remplacée dans un cockpit, mais vous pouvez utiliser ces drones pour des missions spécifiques, réduire les coûts d'exploitation par dix, et voler par mauvais temps" est intervenu Colin Loring, un pilote volontaire de l'équipe de recherche et secours de la ville de Greenville. Il a dit vouloir doter son équipe d'un drone comme celui que proposera 3D Robotics. Le drone sera évidemment pourvu de tous les capteurs qui vont bien, accéléromètres, gyroscopes, gyromètres, et disposera d'un mode de pilotage automatique. Nous attendons de la part de 3D Robotics un peu plus d'informations et surtout son prix définitif avant de vous les transmettre.

Une autruche ça vole : la preuve avec ce drone

$
0
0

humanoides_fr_drone_autruche_OstrichCopter2

On peut se demander si Bart Jansen est un peu dérangé ou s'il en veut aux animaux... L’artiste néerlandais s'était déjà fait remarquer l'an dernier en transformant un chat empaillé en drone. Il a récidivé, mais cette fois avec un animal plus imposant : une autruche ! Certains seront choqués, d'autres applaudiront l'invention, une chose est sûre, l'OstrichCopter ne laissera d'aucun indifférent. Equipé de quatre hélices, la pauvre bête fait office de fuselage. L'autruche en forme de quadricoptère vole, comme cette vidéo le prouve. Il s'agit du premier vol de cette autruche autonome sans pilote. Voler un jour est peut-être le rêve caché de toute autruche, qui sait ? Cet animal étant le seul oiseau sur Terre qui ne vole pas. Malgré son poids conséquent, le drone s'élève dans les airs non sans mal grâce à ces quatre rotors. L'engin est loin d'être furtif et ne passe pas inaperçu vu le bruit qu'il fait. Et on ne vous raconte pas tout le mal que Bart Jansen s'est donné pour trouver quelqu'un qui veuille bien lui céder un corps d'autruche morte pour réaliser ce robot insolite... humanoides_fr_drone_autruche_OstrichCopter3 humanoides_fr_drone_autruche_OstrichCopter1

3D Robotics dévoile IRIS, un drone à moins de 500 €

$
0
0

humanoides_fr_drone_iris_3D_robotics_3

La start up américaine 3D Robotics (3DR) vient de donner plus de détails sur la sortie prochaine de son quadricoptère grand public baptisé IRIS. Il a tout d'un drone professionnel excepté son prix : 659,99 $ soit un peu moins de 500 €. Sorti de son emballage, Iris est un drone prêt à l'emploi. C'est un UAV à guidage autonome par GPS. Il se contrôle à partir d'un simple smartphone ou tablette sous Android (la compatibilité avec un appareil iOS arrivera prochainement). On peut également piloter le drone avec une radiocommande fournie avec l'engin. L'objet visant le grand public, l'application mobile développée est très intuitive. D'un simple appui sur l'écran, le drone effectue de manière autonome les manoeuvres de décollage et d'atterrissage. Idem pour la détermination des trajectoires envoyées à l'appareil. humanoides_fr_drone_iris_3D_robotics_2 Voici les caractéristiques impressionnantes compte tenu de son prix :
  • Possibilité de contrôle multiples à partir d'une radiocommande, un ordinateur, un smartphone ou une tablette
  • Traitement des données de vol en temps-réel
  • Logiciel multiplateforme (Windows, OS X, Linux) permettant de diriger l'appareil et d'analyser les données de vol
  • Contrôle du drone de manière intuitive à partir des applications mobiles permettant de dessiner la trajectoire sur l'écran
  • Option caméra permettant de transmettre en temps réel les images filmées (caméra non fournie)
  • Compatible avec les caméras GoPro®
  • Radiocommande à 9 canaux préprogrammés fournie
  • Possibilité de préprogrammer le vol via GPS pour des missions de mapping, de recherche ou de surveillance, qui nécessitent des plans de vol répétables.
  • Décollage et atterrissage en mode automatique avec retour au point de départ
... et bien d'autres. humanoides_fr_drone_iris_3D_robotics Si ça ne suffisait pas, 3DR a annoncé que son appareil était entièrement open-source, aussi bien son logiciel que l'électronique embarquée. Iris est véritablement un produit haut de gamme, fruit de quatre ans d'expertise de la start-up, et qui n'a rien à envier aux drones pour professionnels. Les pré-commandes sont ouvertes et la première série d'Iris, plutôt destinée aux bidouilleurs, sera expédiée à partir du 16 septembre. Les expéditions pour le grand public suivront dans la foulée. De nombreuses options sont disponibles et les prix démarrent à partir de 659,99 $. Pré-commandez le vôtre !

La France vient d’acheter deux drones Reaper aux États-Unis

$
0
0

humanoides_fr_drone_reaper_france

Piloté par deux hommes au sol à des milliers de km du théâtre d’opération, le Reaper peut voler 24 heures d’affilée en fournissant des images et données. Une fois formés, les soldats français devraient utiliser ces engins au Mali. La France a acquis un premier système de deux drones de surveillance MALE (Moyenne altitude longue endurance) MQ-9 Reaper non armés, fabriqués par la société américaine General Atomics, a-t-on appris vendredi 23 août auprès du ministère de la Défense. Cet achat avait été annoncé en mai, mais plus de trois mois de discussions ont été nécessaires pour boucler l’opération.

Des militaires formés au Nouveau-Mexique

Ce premier système, a précisé cette source, comprend “deux vecteurs aériens non armés” ainsi que leur dispositif de guidage au sol. Ces appareils seront prélevés sur le quota de l’US Air Force et ne seront donc pas, du moins pour le moment, “francisés”, c’est à dire modifiés afin qu’il soit notamment possible de leur intégrer des capteurs français, voire européens. Ce sera – ou devrait être – le cas pour le 10 Reaper suivants. Selon le site du magazine spécialisé Air et Cosmos, un premier groupe de militaires français aurait rejoint la base d’Holloman au Nouveau-Mexique (États-Unis) pour y être formé à l’emploi de ce nouvel équipement.

Paris voudrait acheter douze Reaper

Les drones de type MALE (moyenne altitude, longue endurance) sont des appareils de reconnaissance sans pilote. L’armée de l’air française n’en possédait pas en nombre suffisant pour couvrir de vastes zones d’opérations, comme actuellement au Mali, et souhaitait s’en doter rapidement. Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, avait annoncé en juin que Paris voulait acheter au total douze Reaper aux États-Unis, acquisition évaluée par ses services à 670 millions d’euros. Interrogé vendredi au sujet des dix drones restants, le ministère de la Défense a indiqué que l’instruction du dossier « est en cours ».

Pas de matériel de ce type fabriqué en Europe

L’armée de l’air française dispose actuellement de deux drones Harfang, produits par le groupe européen EADS à partir d’un modèle israélien, le Heron-TP. Jean-Yves Le Drian avait justifié sa décision d’acheter des drones américains par l’absence de matériel de ce type de fabrication française ou européenne et l’urgence de s’en procurer.

L’AR.Drone 2.0 de Parrot bat un nouveau record

$
0
0

humanoides_fr_ar_drone_2_bosphore

Le drone de Parrot vient de traverser le détroit du Bosphore reliant l'Europe et l'Asie. Il s'agit d'un record dans cette catégorie de mini drones et d'un bon coup de projecteur sur l'appareil du constructeur français. 1007 mètres. 1 GPS. 1 drone. Voilà c'est fait ! L'AR.Drone 2.0 est le premier UAV à rejoindre par les airs l'Asie depuis l'Europe. Un petit kilomètre parcouru grâce au module d'autopilotage Flight Recorder GPS. Le programme libre de droit QgroundControl a été utilisé pour planifié le parcours de l'appareil. humanoides_fr_ar_drone_2_bosphore_1 humanoides_fr_ar_drone_2_bosphore_2 humanoides_fr_ar_drone_2_bosphore_3

Un drone non identifié près des îles japonaises Senkaku

$
0
0

humanoides_fr_drone_senkaku

Un drone non identifié s'est approché lundi d'îles administrées par le Japon et revendiquées par la Chine, provoquant l'envol de chasseurs nippons, a annoncé le ministère japonais de la Défense. Cet avion sans pilote a volé près des îles Senkaku de mer de Chine orientale, que Pékin revendique sous le nom de Diaoyu, sans entrer dans l'espace aérien nippon. Il s'agit du premier incident de ce type jamais rapporté dans cette région. Le ministère nippon a expliqué que des chasseurs des Forces aériennes d'Autodéfense (armée de l'air du Japon) avaient décollé pour suivre ce drone, avant d'en perdre la trace alors que cet appareil se dirigeait vers le nord-ouest d'où il venait au départ. Situé à 200 km au nord-est de Taïwan et à 400 km à l'ouest de l'île d'Okinawa (sud du Japon), l'archipel des Senkaku est inhabité. Mais il occupe un point stratégique en mer de Chine orientale et les fonds marins qui l'environnent pourraient renfermer des hydrocarbures. La Chine envoie régulièrement des navires gouvernementaux, et ponctuellement des avions, dans les parages de ces cinq îles depuis que Tokyo en a nationalisé trois en septembre 2012, entraînant une brusque montée de tension entre les deux pays. Des navires des garde-côtes japonais croisent en quasi permanence dans ces eaux, aussi des experts craignent-ils un incident armé entre les deux voisins aux relations déjà empoisonnées par le souvenir douloureux de l'occupation partielle de la Chine par les troupes japonaises entre 1931 et 1945. Jeudi, le Premier ministre japonais Shinzo Abe et le président chinois, Xi Jinping, se sont brièvement rencontrés en marge du G20 de Saint-Pétersbourg, pour la première fois depuis leur arrivée au pouvoir - en décembre pour le Premier ministre japonais et en mars pour le président chinois. Il s'agissait même de la première rencontre à ce niveau entre les deux puissances asiatiques depuis l'aggravation du différend insulaire en septembre dernier. Source

Des drones combattent les flammes du parc Yosemite

$
0
0

humanoides_fr_incendie-yosemite_drone_predator_2

Pendant ce temps, les pompiers se battent encore contre Rim Fire, le troisième plus grand incendie de l'histoire de la Californie, qui a ravagé près de 100.000 hectares depuis le 17 août dernier. 3.600 soldats du feu sont mobilisés sur place et se battent contre les flammes aidés par les drones d'observation. L'incendie qui est aux abords du parc national de Yosemite est circonscrit à 80% et devrait être maîtrisé au 20 septembre prochain selon les pompiers. Les pompiers ont réussi à reprendre le contrôle de la situation notamment grâce aux drones. Un drone Predator a été employé pour survoler la zone montagneuse du parc californien. humanoides_fr_incendie-yosemite_drone_predator_5 Les drones sont très utiles dans ce type de mission car ils peuvent filmer ou prendre des photos aériennes de la situation à n'importe quel moment, de jour comme de nuit, et de dépêcher des hommes à des endroits bien précis où les flammes se propagent. Le Predator peut rester autour de la zone pendant près de 22 heures, ce qui permet aux pompiers de contrôler l'activité du feu, déterminer la direction de propagation et détecter de nouveaux départs de flammes. Il est piloté par la 163ème Aile de la Garde nationale aérienne (California National Guard). Son opérateur est quant à lui, situé à l'aéroport de Victorville. humanoides_fr_incendie-yosemite_drone_predator_4 Le MQ-1 Predator conçu par la société américaine General Atomics est un drone militaire pour la reconnaissance et l'observation. Une version avec armement existe. En opération depuis 1995, on dénombrait 161 unités en service en 2011. En dehors de la zone de feu, le drone est escorté par un appareil avec pilote pour des raisons de sécurité. Les pompiers se servent également d'un avion DC-10 pour larguer de l'eau et lutter contre le feu. Plus de 15 millions de litres d'eau et de retardant ont été déversés par voie aérienne sur le feu. Voici un timelapse impressionnant de la situation. Trois semaines après son déclenchement, les pompiers espèrent le matter dans une dizaine de jours : humanoides_fr_incendie-yosemite_drone_predator_3 humanoides_fr_incendie-yosemite_drone_predator

Le drone Phantom de DJI sait aussi surfer en mer

$
0
0

humanoides_fr_dji_phantom_surf

Surfeurs et amateurs de sports extrêmes, cet article est pour vous. Déçus par les séquences de surf filmées de trop loin ? Besoin d'une vue d'ensemble plutôt que d'un gros plan sur les jambes du surfer ? Regardez comment avec un drone Phantom de DJI, une séance de surf prend une toute autre dimension. Prenez une plage en Californie, rajoutez-y un ciel d'un bleu éclatant, saupoudrez de quelques vagues et envoyez un drone Phantom filmer le tout. Vous obtenez ce film magnifique qui donne envie de retourner en vacances. Le drone quadricoptère a été équipé d'une caméra GoPro qui permet de saisir des images d'une telle qualité. Il se contrôle à partir d'une radiocommande et propose une aide au pilotage. En effet, lorsque vous sélectionnez le mode GPS ATTI, l’appareil corrige automatiquement sa position grâce à son GPS intégré (fonctionne surtout en extérieur quand l'UAV capte sans encombre les signaux GPS). Le Phantom peut facilement suivre une personne en mouvement jusqu'à 10 mètres par seconde. Si vous êtes tentés par acheter ce drone, n'hésitez pas à lire le test qu'a effectué helicomicro.com.
Viewing all 164 articles
Browse latest View live